dimanche, février 18, 2007

voila trois texte que j'ai créer quand je n'avais aps le net ^^:


TEXTE1

comment dire ce que je ressent,
le fait que quand je suis avec elle
je ne pense plus a rien
comment expliquer le vide present,
malgré qu'il n'y ait qu'elle
je ne me sente aps forcement bien

dans ses bras je m'oublie
dans ses bras j'oublie
tout autour de moi disparait
parfois meme elle
elle me plait
et elle' est belle.

ce n'est peut etre pas une reine
mais a mes yeux cela me suffit
comment pourrait t'on lui faire de la peine
a elle qui toujours sourit.

"je n'ai pas choisi,
c'est ni le besoin ni l'envie,
j'ai cette force au fond de moi,
qui me porte vers toi."

mais pourtant
malgré cela
malgré ce que je peux (parfois) ressentir
mes yeux ma pensée ne peuvent se fixer a ca.

il derive encore et toujours
ne sachant se fixer
meme si j'ai choisit de ne plus aimer
de ne plus m'enflammer
je ne suis pas a l'abri
que le voile se dechire
qu'un jour s'embrase le desir
et que tout recommence

j'ai peur car pour l'instant le jeu n'est pas fini
et que je ne sait me fixer,
je ne sait me cerner.
Et cela me fait douter.

Toujours les mêmes questions,
toujours les mêmes doutes,
toujours le smemes tortures,
quand cela cessera t'il

TEXTE2

nul ne le voit
mais un feu me consumme
lentement il trace sa voie
et ma vie il enfumme

un brouillard impenetrable
qui cache mon desir
qui créé des degats irréparable
tout ca pour une envie de conquerir

une conquete ephemere
d'une muse bien réelle
le poison deletere
d'une etreinte charnelle

voila mon etat d'esprit
les doutesqui dechirre ma vie
me font douter de ma situation
et envenime mes passions.

TEXTE3

Je pensait avoir trouver un exhutoire muet
Mais il a fallut que tu intervienne
Regarde la pagaille que tu met
tel les degats d'une attaque aérienne

toi qui est si maligne
Tu lis entre les lignes
Et malgrés mes feintes
tu repere, encore et toujours, mes craintes

Comme un predateur attirer par le sang
tu est attiré par les mysteres dont je m'entoure
devant toi je redevient un enfant
et tu continue a me joué des tours

Toi quiavec le scalpel de la curiosité
Et meme si tu n'a pas tout trouvé
Tel une puissante lame
tu disseque peu a peu mon ame

Il me faut admettre que grace a toi
je peux parler de mes craintes
je batitun nouveau toit
et que je fais moin de feintes

Il est dur d'avouer
que a mon ame tu compte beaucoup
meme si ton amitié
c"'est du tout au tout

Tu a dus te reconnaitre
je ne doute pas que ca a du te toucher
se mesage vient de mon etre
et il est empreint de verité

comprend que tu revet desormais
une importance quasi-vitale
Car si un jour je me tais
cela pourrais bien m'etre fatal